D’abord il y a le blanc immense, prêt à absorber chaque souffle qui le regarde.
Le vertige s’installe
Dans la chute qui se répète.
Je me raccroche au trait de ma chute.
J’inspire de nouveau.
Je me fraie la forme où je danse
les singeries aléatoires
de tout ce qui me plaît.
La forêt est mon animal.
La mer, le corail, le désert et le roc,
et aussi le cosmos,
Est mon animal.
Mon corps animal,
De toutes ses formes,
Parle.